Dauphiné Libéré – 18 mars 2023

Il fait du mentalisme avec… ses chiens !

Pourquoi, dès son tout jeune âge, Olivier Rolland voulait un chien, il ne l’explique pas. « C’est vrai que mes grands-parents avaient des chiens, mais ça ne m’a pas marqué. » Le Berjallien de 42 ans, qui a toujours habité un vaste terrain au quartier de Montbernier, parle pourtant de quelque chose de viscéral.

« J’ai bien cassé les pieds à mes parents pour avoir mon premier chien », rigole-t-il aujourd’hui, autour de la table de la cuisine familiale, une petite tasse de café devant lui, un border collie couché non loin.

« Ce premier chien s’appelait Cyrus, c’était un setter irlandais, un chien de chasse. » Âgé d’à peine dix ans, Olivier a commencé à enseigner « de petites choses » à son compagnon à pattes. « À jouer au foot par exemple. Il faisait le gardien. J’y allais tranquillement. Il arrivait à arrêter mes tirs. »

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